Dans cette oeuvre, Pauline, la douce provinciale, n'est qu'un leurre : l'héroïne n'est pas celle qui donne son titre au roman. Par le biais de portraits croisés mêlant influences réaliste et romantique, George Sand brouille les pistes pour livrer une réhabilitation de la comédienne et une réflexion sur le pouvoir émancipateur de l'art.
Dans cette oeuvre, Pauline, la douce provinciale, n'est qu'un leurre : l'héroïne n'est pas celle qui donne son titre au roman. Par le biais de portraits croisés mêlant influences réaliste et romantique, George Sand brouille les pistes pour livrer une réhabilitation de la comédienne et une réflexion sur le pouvoir émancipateur de l'art.