
Jamais Catherine n’aurait imaginé qu’un déménagement puisse l’entraîner dans de tels excès : « Brusquement, je perds tout, mon mari, mes meubles, ma dignité, je me perds. On me jette à la rue comme une femme de désordre. On m’oblige à des visites inconsidérées, à des actes inconsidérés. On me mêle à n’importe qui et j’accomplis n’importe quoi. »