- Tu es encore plus jolie quand tu es assise auprès de moi.
- Mais je ne peux pas me voir, car je suis à présent de l’autre côté du miroir.
- A peine eut-elle prononcé ces mots qu’Ariel lâcha sa main. Il dit sur un ton administratif :
- Tu ressembles à un papillon somptueusement paré qui viendrait de s’envoler de la main de Dieu.